L’essor des médecines non conventionnelles, dites “douces”

Aujourd’hui en France, de plus en plus de monde se tourne vers des médecines alternatives avec la volonté de se soigner différemment. Dans le monde nous recensons près de 400 pratiques différentes liées à ce type de soin.

Utilisées comme complément, comme remplacement des médecines traditionnelles, certaines de ces méthodes sont décriées, désapprouvées par le Conseil National de l’Ordre des Médecins (cf Article du conseil national de l’ordre des médecins) pour des utilisations abusives, dangereuses pour lesquelles aucunes études scientifiques n’ont pu démontrer les bienfaits réels auprès des patients.

Dans cet article, nous allons d’abord vous présenter ce qu’est la médecine non conventionnelle, sur quel biais sont centrés ces soins, par quel moyen mental, physique ou spirituel sont appliquées ces méthodes, et comment à ce jour ces pratiques sont intégrées en complément des soins dans certains hôpitaux de France.

1. Que comprendre de la médecine non conventionnelle (dite douce, complémentaire, naturelle ou alternative) ?

Tout d’abord, qu’est qu’une médecine traditionnelle ? D’après l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), elle est définit comme telle :

« C’est la somme des connaissances, des compétences et des pratiques fondées sur les théories, les croyances et les expériences propres à différentes cultures, qu’elles soient explicables ou non, utilisées dans le maintien de la santé et la prévention, le diagnostic, l’amélioration ou le traitement des maladies physiques et mentales. »

Pour faire simple, il s’agit donc des soins appliqués au quotidien dans la volonté de soigner des symptômes, maladie, par une approche scientifique afin de trouver une solution au cas présenté. Par des années d’expériences, d’essais, d’avancées majeures de plus en plus de maladies se soignent par des biais médicamenteux ou non prescrit par les professionnels de santé agréés.
 Tous les soins proposés ont été d’ailleurs approuvés par des études scientifiques ou cliniques avec l’accord commun d’un nombre de professionnels fort d’expériences.
Le but d’une médecine conventionnelle est donc de trouver une solution afin de remédier aux conséquences des maladies rencontrées.

Quant aux médecines non-conventionnelles, le but étant d’aller chercher la cause des symptômes présents, d’aller chercher dans l’environnement même de la personne concernée, de comprendre pourquoi à ce jour elle est « victime » de ces maux.

Pour les pratiquants de ce type de médecine, ils n’auront aucunement le pouvoir de prescrire un quelconque médicament, car ils ne sont pas porteurs du statut de « professionnel de santé », aucun diplôme n’est reconnu à l’échelle nationale (excepté l’acupuncture). C’est d’ailleurs ce pourquoi beaucoup de ces pratiques sont liées à l’esprit, au corps.

Ici donc, peu, voire pas d’études cliniques ou scientifiques sont capables d’approuver les bienfaits de ces soins, et donc de leur donner du crédit auprès des professionnels agréés.
Pour des maladies graves et/ou urgence, le ministère de la Santé estime que les chances de guérir ou d’y voir une amélioration en utilisant ces méthodes de soins plutôt que des pratiques conventionnelles sont faibles voire nulles.

La médecine non conventionnelle a pour but de traiter des troubles fonctionnels et/ou symptômes chroniques. Cela peut passer par différentes parties du corps et de l’esprit humain, par exemple :

  • Troubles musculo-squelettiques ; traités par l’ostéopathie et/ou la chiropraxie, l’acupuncture
  • Troubles émotionnels (stress, angoisses) ; traités par l’hypnose, la sophrologie, la naturopathie et la phytothérapie
  • Troubles digestifs et métaboliques ; traités par la phytothérapie, naturopathie, acupuncture et médecine chinoise
  • Troubles du sommeil ; traités par la sophrologie, l’hypnose ou l’aromathérapie
  • Troubles hormonaux et gynécologiques ; traités par acupuncture ou phytothérapie

2. A quel degré les français se tournent vers ce type de soins ?

En 2024, selon l’OMS, plus de 70% des français ont déjà consulté un spécialiste de ces médecines alternatives, démontrant le fort impact que cela a sur l’envie d’utiliser ce genre de pratiques.

57% des français estiment que les thérapies alternatives sont de façon générale au moins aussi efficaces que la médecine classique d’après l’institut de sondage ODOXA réalisé en 2023.

Parmi les médecines douces, les consultations les plus fréquentées sont tournées vers l’ostéopathie et l’homéopathie avec plus 40% pour chacune d’entre elles.
L’utilisation des médecines douces par les huiles essentielles est également une thérapie par laquelle les français ont le plus recours avec 37% d’entre eux.

Un essor plutôt important  pour ce genre de consultation s’est fait remarquer suite notamment au fait qu’il est de plus en plus difficile d’obtenir des rendez-vous rapidement avec des médecins spécialisés d’après 58% des français.
Dans des zones de déserts médicaux, il en devient une lutte pour avoir un accès au soin expliquant donc la recherche de méthodes plus alternatives.
D’ailleurs 54% d’entre eux estiment avoir l’idée ou l’envie de passer par des médecines plus alternatives.

Cela peut s’expliquer par une forte démocratisation de ce type de pratique/soin auprès du grand public. Bien souvent d’ailleurs, le réseau de ces praticiens se fait par le bouche à oreille suite aux potentiels effets bénéfiques rencontrés sur un patient satisfait.

La santé mentale des français étant en grande fragilité dans la période actuelle (cf article santé mentale des français) il peut être démontré que la recherche de bien-être suite à une prise de conscience de son corps, mental, esprit va rapidement se tourner vers des médecines dites douces car elles vont chercher à connaître la cause, la faire conscientiser, la traiter par le moyen le plus adéquat et ainsi en obtenir des conséquences.

Pour beaucoup, cela peut être considéré comme un suivi très personnalisé, individuel et intimiste allant creuser les « plaies » les plus profondes, trouver ce qui ne va pas et travailler spécifiquement sur les symptômes liés au mal être.

3. Un problème de légitimité auprès des professionnels de santé

A ce jour, ces types de thérapies ne sont que trop peu reconnues auprès du Conseil national de l’Ordre des médecins, expliquant notamment le peu de preuves scientifiques et fondées démontrant les véritables résultats bénéfiques des soins proposés.
De plus, il est recensé près de 70% de signalement en santé liés aux dérives sectaires liées aux médecines alternatives (+33% en 2021)

MIVILUDES (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) estime que :

  • 1 800 structures d’enseignement ou de formation « à risques » dans le domaine de la santé
  • 4 000 « psychothérapeutes » autoproclamés n’ont suivi aucune formation et ne sont inscrits sur aucun registre.
  • 4 Français sur 10 ont recours aux médecines dites alternatives, dont 60 % parmi les malades du cancer

Pour pratiquer la médecine alternative, aucun diplôme reconnu n’est requis, les praticiens se diplômant par des écoles spécialisées privées, par des formations auprès d’organismes, ou bien à l’aide de « mentor » exerçant déjà la méthode de soin.

De ce fait, 5 types de médecines conventionnelles avec encadrement partiel sont reconnus par le Conseil national de l’Ordre des médecins : Ostéopathie, chiropraxie, acupuncture, hypnose médicale et la médecine traditionnelle chinoise.

Il existe également des médecines alternatives partiellement reconnues et appliquées par certains professionnels de santé : phytothérapie, aromathérapie, homéopathie, médecine ayurvédique.

Mieux comprendre les types  médecines douces : https://www.cocoon.fr/dossiers-sante/medecines-douces/liste

Et si finalement, nous utilisons ces médecines comme complémentaires…

Certains établissements hospitaliers intègrent dorénavant en complément des soins conventionnels comme le centre hospitalier de Paimpol ou de Bordeaux qui instaurent des ateliers de méditation pour la rééducation postopératoire pour des besoins plus axés sur les besoins du patient.
Un premier pas pour ce type de médecine qui peut être, pourra se démocratiser et prouver les réels bienfaits sans devoir appuyer cela avec des moyens scientifiques demandés.

Il est donc déconseillé d’utiliser, d’après le Conseil National de l’Ordre des Médecins, d’utiliser les pratiques de médecines douces en substitut des méthodes classiques de soins car il n’est pas démontré par une quelconque étude scientifique des bienfaits de ces méthodes.

Pour autant, les déserts médicaux suscitent auprès des patients d’aller trouver des solutions alternatives afin de pouvoir traiter les symptômes rencontrés, expliquant l’essor des consultations tournées vers ce type de pratique.

Aujourd’hui, cette médecine dite non conventionnelle/douce/alternative se définirait plus comme complémentaire aux soins classiques.

Attention toutefois à ne pas entrer dans des systèmes médicinaux sectaires qui pourraient vous pousser à agir, réagir en étant sous contrôle d’une tierce personne. Renseignez-vous bien sur le soin qui pourrait vous être le plus adapté, selon vos besoins, votre parcours. Parlez en autour de vous.

Pour aller plus loin

La santé mentale des français s’affaiblit, que se passe-t-il ?

Le dernier gouvernement a annoncé que  « la santé mentale des français devra être la grande cause nationale de 2025 » et ce, par l’intermédiaire de déstygmatisation des troubles psychiques, par un développement de la prévention, un repérage dès le plus jeune âge, un accompagnement dans le quotidien des personnes concernées, une amélioration pour l’accès aux soins. (gouv.fr)

C’est pourquoi aujourd’hui nous vous proposons un article sur cette thématique vous démontrant l’importance des chiffres liés à ce sujet, quelles en sont les causes et quelles solutions sont et/ou vont être mises en place.

1. Quelques données sur la santé mentale

Aujourd’hui tant de raisons influent sur l’augmentation des épisodes dépressifs caractérisés (dit EDC) notamment par un climat économique, politique, écologique, sociétal, environnemental de plus en plus anxiogène.

Sur l’année 2024, nous avons près de 57% de français qui disent penser à leur bien être mental tandis que 1 français sur 5 dit avoir connu un épisode dépressif de plusieurs semaines.

A l’échelle mondiale, 45% des problèmes de santé proviennent de la santé mentale contre 38% pour les cancers caractérisant l’importance non négligeable de ces troubles. En France 1 tiers de la population considère que c’est un problème de santé majeur.

C’est d’ailleurs depuis l’épisode épidémique de la COVID-19 que nous avons pu sensiblement observer un accroissement des troubles liés à l’anxiété, le stress ou bien même des troubles dépressifs liés notamment à l’isolement social, les conditions de confinements (logements précaires).

Évolution des passages aux Urgences pour gestes suicidaires dès 11-17 ans entre 2018 et 2022 (Source : Santé Publique France)

Les plus jeunes ont été ceux pour lesquelles les périodes de confinement n’ont cessées d’agir sur leur système mental déclenchant troubles de l’humeur ou gestes et pensées liés au suicide se multipliant par 2 fois le nombre de passage au urgences avant les confinements et les chiffres ne sont plus jamais revenus comme avant.

2. Aujourd'hui, quels sont les évènements qui affectent notre santé

L'éco-anxiété* : l'inquiétude pour l'avenir de notre monde

En octobre 2023, près de 80% disent être « inquiets des conséquences du dérèglement climatique sur le monde » selon une étude du CESE.
Touchant d’ailleurs les plus jeunes qui se disent avoir un rôle majeur à jouer pour les années à venir qui leur donne une responsabilité majeure au bienfait environnemental déjà bien abîmé à ce jour.

Cela peut être vecteur d’angoisse, de peur, de stress, de la colère face aux détracteurs qui existent à ce jour.
Mais pour garder un élan d’espoir, il faut rappeler que cette jeune génération entre petit à petit dans le monde du travail et souhaite bouleverser les codes en mettant plus en avant les valeurs qu’elles défendent, notamment environnementale. Les déplacements répétés, l’engagement dans une structure ne respectant pas les normes environnementales fidèles aux valeurs de ces futurs travailleurs, les sociétés usant du Greenwashing abusif etc…

L'inflation : une hausse de prix constante

Aujourd’hui la hausse des prix constants ne cesse de fragiliser les français sur le plan financier et donc mental. En effet, la lutte pour subvenir aux besoins fondamentaux est de plus en plus rude et les français estiment avoir du mal à vivre avec les revenus de leur foyer (56% en 2022). 

De fait, cela va impacter sur la vie quotidienne des personnes en difficultés financières à pouvoir se nourrir de moments liés aux loisirs et/ou médicaux qui peuvent impacter sur l’équilibre mental.

Une étude menée par l’IFOP est assez alarmante démontrant que près de 60% des français ont réduit les dépenses alimentaires liées à l’augmentation des prix en 2023 contre 29% en 2007. Cela s’explique par la forte augmentation des produits alimentaires et le reste (cf. graphique)

L’augmentation des prix par secteurs depuis 2018 (Source : INSEE)

Politique : la montée des extrêmes préoccupante

Après la victoire de l’extrême droite aux élections européennes en juin 2024, un climat de peur s’est installé en France, suivi par la dissolution de l’Assemblée nationale qui a eu le pouvoir d’empêcher ce même scénario par la forte mobilisation des électeurs français.

La dissolution du gouvernement par quatre fois sur l’année 2024 démontre l’instabilité politique qui règne sur le pays et auprès de ses citoyens. Créant pour chaque nouvelle nomination des incertitudes, une instabilité morale et politique et des désaccords supplémentaires.

La politique d’aujourd’hui désintéresse de plus en plus de monde en France, et pour cause ; des médias de plus en plus orientés, des femmes et hommes politiques ne montrant que du mépris pour les réelles causes à défendre à l’égard ses opposants sans réelles preuves quelconques, des accusations judiciaires pour lesquelles ils esquivent les sanctions devant être émises juridiquement… 

Paradoxalement, les jeunes âgés de 15 à 30 ans (environ 3 jeunes sur 10 en 2024 d’après le CREDOC**) donnent de plus en plus de leur temps dans le milieu associatif dans le cadre de bénévolat, contre 25% en 2023. Et nous notons des augmentations dans les milieux associatifs liés à l’environnement et l’action humanitaire et l’aide au développement démontrant une réelle envie d’agir pour du mieux dans notre monde actuel.
Ce qui peut être porteur d’espoir pour un avenir plus politisé et engagé qu’aujourd’hui…

Engagement bénévole entre 2023 et 2024

3. Comment prendre soin de la santé mentale ?

La santé mentale est différente selon chaque individu par les traumatismes du passé, la structure psychique, l’environnement personnel et/ou professionnel, etc… Mais pour autant il ne faut pas négliger le fait de pouvoir prendre soin de cet équilibre émotionnel et cela peut passer par plusieurs moyens différents.

Il y a évidemment les moyens médicaux, par la consultation de thérapeute, psychologue, médecin généraliste, sophrologue, énergéticien qui peuvent être pour un accompagnement lors d’une période plus compliquée dans une vie aussi bien qu’un accompagnement tout au long de sa vie.

Ces médecines sont d’ailleurs beaucoup trop négligées à ce jour, peu ou pas assez de personnes passent le cap de consulter ces spécialistes pour une raison de « norme sociétale ».

A noter tout de même qu’il y a une forte hausse des consultations chez un psychologue entre 2023 et 2024, avec près de 8 millions de consultations (arrêtées à novembre 2024) soit une hausse de 13.8% à cette même date en 2023. Les 2/3 des patients sont des femmes mais la courbe de consultation masculine augmente fortement par rapport à 2023 (+29%).

La tranche d’âge ayant le plus souvent accès à ces soins est les 18-24 ans, démontrant de nouveau une forte détresse. De plus, l’Etat avec l’assurance maladie a mis en place un accès au soin plus raisonné avec un remboursement total à hauteur de 50€/séance pour chaque mois. Ce qui peut encourager les plus précaires à accéder à ce genre de soins qui étaient auparavant un budget coûteux. 

Pour mieux comprendre :

Le sport est également un vecteur de bienfait mental et physique pour l’organisme. 
En effet, pratiquer un sport favorise le sommeil, peut créer des relations sociales, libère dans le corps des hormones telles que l’endorphine (plaisir) ou la dopamine (bonheur) qui permettent de réduire le stress et l’anxiété. 

Passer du temps avec le vivant est aussi un moyen de pouvoir recentrer son attention sur les choses plus essentielles de la vie, réduire également le stress et se connecter pleinement à ce qui nous lie avec la planète. Parcs, forêts, montagne, lac, océan, mer sont une source inépuisable pour notre bienfait individuel. 
Chaque individu est unique et les ressources de certains sont différentes d’autres. Il est important de déceler ce qui nous « nourrit » émotionnellement, intellectuellement pour savoir prendre soin de soi. Je vous ai cité quelques exemples peu avant mais cela peut passer aussi bien par l’art, les activités en intérieur, être en collectivité avec ses amis, par des activités ludiques, des activités créatives, etc… 

Pour ce faire, l’aide d’un médecin spécialisé n’est pas à exclure dans sa démarche personnelle, bien au contraire c’est recommandable.

Il existe également les médecines non conventionnelles dites « douces » liées au corps et à l’esprit encore trop peu connues auprès du grand public et trop peu reconnues auprès de l’ordre des médecins qui pourtant ont des effets bénéfiques sur les individus les pratiquant.

4. Quelles sont les mesures à venir ?

L’Etat français a annoncé mettre un point d’honneur à la santé mentale des français en 2025 mais que devons-nous attendre dans les jours/semaines/mois à venir ?

A l’heure actuelle, le gouvernement de François Bayrou n’a pas communiqué plus en détail les mesures souhaitées pour privilégier la santé mentale en France, mais certaines idées ont été évoquées pendant le gouvernement de Michel Barnier (mettant la santé mentale au cœur des préoccupations également) :

  • Par la déstigmatisation de la santé mentale est une importance à forte échelle.
  • Un accompagnement dans les établissements scolaires dès le plus jeune âge pour y faire de la prévention et également un suivi plus poussé auprès des jeunes enfants.
  • Depuis peu, les consultations avec un psychologue sont remboursées en intégralité marquant un pas significatif pour l’amélioration de la santé mentale.

Conclusion

Plusieurs facteurs sont donc à l’origine d’une santé mentale en déclin en France, notamment depuis l’épisode du coronavirus. Les plus jeunes ayant été ceux les plus touchés et qui aujourd’hui encore sont les plus fragilisés actuellement mais ils sont ceux qui sont également les plus engagés auprès d’associations afin de vouloir faire changer les choses, leur monde et promouvoir le mieux pour leur avenir. 

Plusieurs moyens existent ; médicaux, sportifs, environnementaux, afin de pouvoir prendre soin au mieux de sa santé mentale. 

La France a permis le remboursement de consultations avec les psychologues facilitant l’accès à ce type de soin. Malgré cela, d’autres mesures sont à prévoir afin de mieux travailler sur ce sujet qui fût trop longtemps mit sous silence et négligé par nombre d’entre nous. 

 

* détresse psychologique liée au préoccupations sur les changements climatiques, dégradation de l’environnement manifestée par l’impuissance, la culpabilité, la tristesse de ne pas pouvoir être acteur majeur des changements à opérer.

** Centre de Recherche pour l’Étude et l’Observation des Conditions de Vie.

Sources :